Auteur de belles victoires et de spectacle à chacune de ses apparitions, Jimmy Terpereau re-signe cette saison en Super 1600 au volant de sa Citroën C2. Après avoir appris de ses erreurs passées, le Sarthois revient en 2020 avec la ferme intention de décrocher la première place. Il revient sur la saison passée, et celle à venir…
Quel bilan dresses-tu de ta saison 2019 ?
Jimmy : « Une année assez compliquée… J’ai voulu trop tout bien faire, en participant au Championnat d’Europe et au Championnat de France, alors qu’avec une seule voiture, c’est quasiment mission impossible.
Après, le plus gros point positif de mon année reste ma sixième place à Lohéac ! C’était l’épreuve à ne pas rater et je tenais vraiment à faire un bon résultat là-bas. Pour le Championnat de France, je pense avoir toujours été présent lorsqu’il le fallait pendant mes participations. Ce qui a plombé ma saison, c’est l’épreuve de Faleyras… et le fait que je ne puisse pas terminer mon week-end. »
Quel est ton programme cette année ?
J : « Je m’engage pour le Championnat de France complet, avec pour objectif le titre, je n’y vais que pour ça ! Généralement, quand je viens rouler, c’est pour gagner, donc en participant au Championnat entier, je ne peux que viser le titre. Je partirai avec la même voiture que l’an passé, ma Citroën C2 qui aura quelques légères évolutions, mais elle était globalement déjà bien évoluée en 2019. Sur le papier, la C2 n’était pas forcément la favorite, mais on a démontré, notamment à Lohéac qu’on pouvait rivaliser avec les Audi et les Skoda, comme ça a été le cas en France face à Yvonnick (Jagu). »
Quels seront les changements effectués ?
J : « Lorsque je pars pour un week-end de course, c’est toujours dans l’optique de le gagner. Mais avec le recul, je me dis que sur certaines manches, si je finis second, il faut penser aux points engrangés et pas forcément au fait d’être passé à côté de la victoire.
Forcément, si j’arrivais à remporter les huit courses du Championnat, ça serait top, mais il faudra que j’arrive à me montrer plus régulier, comme j’ai pu le faire l’an passé à Kerlabo en me contentant de la seconde place. C’est aussi sur ça qu’il faudra travailler. »
Quelles sont tes ambitions ?
J : « Le titre en Super 1600 mais également en Fol’car, car je serai également engagé sur la saison complète. Huit manches de Rallycross ne me suffisent pas, car j’ai besoin de beaucoup rouler et le Fol’car me permet en plus de pouvoir rouler sur les mêmes circuits qu’en Rallycross. »