#2019
28/08/2019
Premier bilan pour Samuel Peu

Malgré une seule victoire décrochée cette saison,  à Lavaré, Samuel Peu est pour l’heure solide leader de la catégorie Supercar. Malgré un week-end noir à Kerlabo, le pilote de la Peugeot 208 s’est montré très régulier durant toute la première partie de la saison. Il nous parle des courses passées, et de celles à venir…

Meilleur moment de la saison ? « Sans doute ma victoire à Lavaré ! Parce qu’on a couru après toute la saison et on ne parvenait pas à concrétiser. Le seul endroit où on a réussi, c’est à Lavaré, sachant qu’on ne partait pas premier… C’est vraiment grâce au tour Joker qu’on a pu faire la différence… »

Moins bon moment ? « Kerlabo… avec un dimanche à l’arrêt… On était en tête du classement intermédiaire provisoire le samedi soir puis on connaît une casse suite à « fait de course » avec Jonathan Pailler avec lequel j’ai un contact après la ligne d’arrivée en qualifications. Nous n’avons pas pu réparer la voiture pour le reste du week-end… »

L’adversaire le plus redoutable ? « Au niveau du Championnat, c’est Philippe Maloigne qui est le plus proche de moi, mais aussi Jean-Sébastien Vigion qui revient fort derrière. Après il y a des adversaires qui sont venus pour une pige et qui étaient également redoutables, à l’image des frères Pailler, de François Duval ou encore Julien Fébreau. »

Évolution à noter sur la voiture ? « Nous avons un nouveau motoriste, en la société de Pipo Moteurs qui a vraiment un suivi technique exceptionnel, et humainement c’est top ! Au niveau des choses à améliorer, je pense qu’on pourrait être plus efficace en termes de châssis par exemple. »

Parmi les trois courses restantes, le circuit que vous attendez le plus ? « J’affectionne particulièrement le circuit de Dreux en raison du tracé qui est assez rapide et qui est typé circuit ! »

Un conseil à donner à vos adversaires pour vous battre ? « Être fiable et toujours régulier car c’est ce qui paye. Ce n’est pas forcément important de toujours gagner les courses, mais plutôt d’être constant pour viser le Championnat. »

Une anecdote à nous raconter ? « Notre troisième place à Essay, sur le fil du rasoir, car nous la décrochions à l’avant-dernier virage ! C’est un beau souvenir parce qu’on ne partait pas devant, et réussir à attraper un podium avec les personnes qui étaient devant, François Duval et Fabien Pailler et de battre Julien Fébreau à la régulière, c’était sympa ! »